Des rumeurs de plus en plus persistantes circulent dans la ville haute sur
l'imminence d'un remaniement du Gouvernement. La perspective se justifierait
par les ajustements à imprégner à l'exécutif national
à la suite de la nouvelle configuration de la majorité après
la recomposition du Bureau de l'Assemblée nationale qui imposerait une
redistribution des cartes.
Dans ce cadre, les salons capitonnés de la capitale font état
de la possibilité de l'entrée au Gouvernement de certains gros
calibres de l'opposition. L'on parle particulièrement de ceux qui se
distinguent dans l'hémicycle du Palais du peuple, mais également
d'autres personnalités autrefois appelées "mouvanciers".
Tout ce monde ne verrai donc plus d'un mauvais oeil leur implication dans la
gestion de la chose publique pour la réalisation, avec Joseph Kabila,
des cinq chantiers de la République.
Aucune information ne filtre encore sur la formule politique qui pourrait permettre
l'intégration de ces opposants au sein du Gouvernement qui, en principe,
est l'affaire de la majorité issue des élections. Dans cet esprit,
l'on s'attend à ce que des consultations qui, officiellement, n'ont pas
encore débuté, déterminent le mode de partenariat politique
qui va sous-tendre cette intégration des opposants dans le Gouvernement
avec, comme implication, leur changement de statut politique par rapport à
la configuration issue des élections. Déjà, lors de l'élection
du bureau de l'Assemblée nationale, il était fait état
d'une offre de deux postes à l'opposition.
Dans cette perspective de remaniement du Gouvernement, il est également
annoncé l'entrée des représentants des mouvements ex-rebelles
signataires des accords de paix de Goma le 23 mars dernier, particulièrement
le CNDP qui est actuellement en pourparlers avec le Gouvernement pour l'exécution
des clauses de ces accords. Cette arrivée du CNDP paraît de plus
en plus balisée avec l'adoption, hier à l'Assemblée nationale
et au Sénat de la loi d'amnistie des crimes de guerre et faits insurrectionnels.
L'ex-mouvement rebelle de Kitshanga ne fait, d'ailleurs, pas mystère
de son intention de prendre part à la gestion de la chose publique, et
avancerait même ses préférences, notamment, pour la défense
et l'intérieur. Une prétention qui ne serait pas proportionnelle
au poids exact du CNDP.
D'autre part, toujours dans les mêmes supputations autour du remaniement,
il est fait état de l'éventuel départ de bon nombre de
ministres de la majorité. L'on cite surtout les membres UDEMO dont, particulièrement
le Vice-premier ministre Nzanga Mobutu. Des départs qui se justifieraient,
certainement, par le froid actuel entre ce parti politique et l'AMP à
la suite de la situation qui a prévalu autour de la démission
de Vital Kamerhe et tout son Bureau.
Il y a deux semaines, l'AMP avait annoncé qu'elle allait réexaminer
les alliances à la suite de cette crise.
A noter qu'officiellement, la majorité n'a pas encore annoncé
formellement le début des consultations pour la recomposition de Muzito
II. Il est, tout de même assuré que ce remaniement est inévitable
en raison de la nouvelle configuration de la majorité après la
récente crise autour de l' "affaire Kamerhe" et la donne consécutive
à l'accord de Goma
l'imminence d'un remaniement du Gouvernement. La perspective se justifierait
par les ajustements à imprégner à l'exécutif national
à la suite de la nouvelle configuration de la majorité après
la recomposition du Bureau de l'Assemblée nationale qui imposerait une
redistribution des cartes.
Dans ce cadre, les salons capitonnés de la capitale font état
de la possibilité de l'entrée au Gouvernement de certains gros
calibres de l'opposition. L'on parle particulièrement de ceux qui se
distinguent dans l'hémicycle du Palais du peuple, mais également
d'autres personnalités autrefois appelées "mouvanciers".
Tout ce monde ne verrai donc plus d'un mauvais oeil leur implication dans la
gestion de la chose publique pour la réalisation, avec Joseph Kabila,
des cinq chantiers de la République.
Aucune information ne filtre encore sur la formule politique qui pourrait permettre
l'intégration de ces opposants au sein du Gouvernement qui, en principe,
est l'affaire de la majorité issue des élections. Dans cet esprit,
l'on s'attend à ce que des consultations qui, officiellement, n'ont pas
encore débuté, déterminent le mode de partenariat politique
qui va sous-tendre cette intégration des opposants dans le Gouvernement
avec, comme implication, leur changement de statut politique par rapport à
la configuration issue des élections. Déjà, lors de l'élection
du bureau de l'Assemblée nationale, il était fait état
d'une offre de deux postes à l'opposition.
Dans cette perspective de remaniement du Gouvernement, il est également
annoncé l'entrée des représentants des mouvements ex-rebelles
signataires des accords de paix de Goma le 23 mars dernier, particulièrement
le CNDP qui est actuellement en pourparlers avec le Gouvernement pour l'exécution
des clauses de ces accords. Cette arrivée du CNDP paraît de plus
en plus balisée avec l'adoption, hier à l'Assemblée nationale
et au Sénat de la loi d'amnistie des crimes de guerre et faits insurrectionnels.
L'ex-mouvement rebelle de Kitshanga ne fait, d'ailleurs, pas mystère
de son intention de prendre part à la gestion de la chose publique, et
avancerait même ses préférences, notamment, pour la défense
et l'intérieur. Une prétention qui ne serait pas proportionnelle
au poids exact du CNDP.
D'autre part, toujours dans les mêmes supputations autour du remaniement,
il est fait état de l'éventuel départ de bon nombre de
ministres de la majorité. L'on cite surtout les membres UDEMO dont, particulièrement
le Vice-premier ministre Nzanga Mobutu. Des départs qui se justifieraient,
certainement, par le froid actuel entre ce parti politique et l'AMP à
la suite de la situation qui a prévalu autour de la démission
de Vital Kamerhe et tout son Bureau.
Il y a deux semaines, l'AMP avait annoncé qu'elle allait réexaminer
les alliances à la suite de cette crise.
A noter qu'officiellement, la majorité n'a pas encore annoncé
formellement le début des consultations pour la recomposition de Muzito
II. Il est, tout de même assuré que ce remaniement est inévitable
en raison de la nouvelle configuration de la majorité après la
récente crise autour de l' "affaire Kamerhe" et la donne consécutive
à l'accord de Goma
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