Les partisans de la balkanisation de la RDC ne décolèrent pas. Ils
débordent d’imagination depuis quelques années, comme s’ils
avaient plusieurs tours dans leurs manches. Alors que le débat intéressant
sur « Pole institute » se poursuit dans les colonnes de notre journal,
voilà que quelques « chercheurs » se mettent en exergue. Comme
si tout cela était effectivement synchronisé.
Parallèlement aux conflits armés cycliques qu’ils entretiennent
dans l’Est de notre pays, les « faiseurs de guerre » ont également
mis à contribution des chercheurs et des centres de recherche aussi bien
en Afrique, aux Etats-Unis que partout dans le monde. Avec pour activité
primordiale de produire des textes ou une pensée « scientifique
» devant convaincre les Congolais de croire en « la non existence
de leur nation sur l’échiquier mondial ». C’est le cas
de Jeffrey Herbst et de Greg Mills, deux chercheurs qui affirment que «
la RDC n’existe pas ». Thèse que rejette Delphine Schrank,
une journaliste américaine soutenant que « le nationalisme dont
font preuve les Congolais empêche l’émiettement de leur territoire
».
Il est important de rappeler que ce 17 mai, c’est la commémoration
de la libération du Congo du régime mobutiste par les troupes
d’AFDL. Cette libération a été accompagnée
plus tard par une revendication identitaire qui, selon de l’avis de beaucoup
d’observateurs, expliquerait la poursuite des conflits armés dans
l’Est du pays. Mais, l’évolution de la situation sur le terrain
a fini par démontrer qu’un complot se tramait derrière ces
revendications identitaires. Il s’agit plutôt d’un vaste complot
de la balkanisation du Congo. Un vieux projet dont les initiateurs s’évertuent
à actualiser les stratégies devant mener à sa concrétisation.
La nouvelle approche, assortie d’une propagande sournoise, se révèle
être la production de la pensée au service de la balkanisation.
Objectif : endoctriner l’imaginaire populaire congolais et l’amener
à accepter une fatalité, en l’occurrence, que l’ex-Congo
belge est trop vaste pour appartenir aux seuls Congolais. Nous en voulons pour
preuve ces écrits, qui rejoignent ceux de Pole institute basé
à Goma (Nord-Kivu) que nous avons dénoncés dans l’une
de nos dernières livraisons, suscitant ainsi un débat intéressant,
prouvant ainsi que nous nous ne sommes pas trompés.
« The Democratic Republic of the Congo does not exist » (NDLR:
la RDC ne doit pas exister). Un souhait? Une vision ? Ou tout simplement une
conviction de la part de deux chercheurs ; Jeffrey Herbst, chef de chaire à
l’Université de Miami, dans l’Etat d’Ohio, aux Etats-Unis
d’Amérique ; Greg Mills, le second dirige la Fondation Brenthurst
basée à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Dans une étude rendue publique au mois de mars 2009, ces deux chercheurs
affirment que la RDC, en tant qu’Etat n’existe pas. Selon eux, il
serait temps de cesser de prétendre le contraire. Aussi, se permettent-ils
d’inviter la communauté internationale à reconnaître
ce fait.
Ces scientifiques notent que toutes les missions de maintien de la paix ont
été vouées à l’échec, de même
que toutes les initiatives diplomatiques entreprises par des envoyés
spéciaux des organisations internationales.
Ils soutiennent qu’une grande partie du Congo (NDLR : l’Est) aujourd’hui
tombée dans l’instabilité est un vaste territoire peu peuplé
mais rempli de ressources naturelles. Que comprendre ? Tout simplement que le
Congolais n’aurait pas le droit de jouir de ces richesses dont regorgent
son sol et son sous-sol alors que ses voisins seraient en situation de manque.
De même, le Congo disposerait d’assez d’espace pour en céder
une partie à ses voisins directs.
Pour illustrer leur argumentaire, Jeffrey Herbst et Greg Mills glissent dans
leur texte cette anecdote, un dicton swahili selon lequel « Le Congo est
un vaste champ où l’on peut brouter jusqu’à en être
repu ». Ne serait-ce pas pour tenter de légitimer la convoitise
des voisins du Congo et de tous ceux qui bavent sur ces richesses et qui ne
lésinent pas sur les moyens pour envahir une partie du territoire congolais
? Même si cette convoitise est vieille de plusieurs années, sans
froid aux yeux, nos deux scientifiques affirment que le Congo ne réunit
pas les éléments constitutifs d’un Etat-Nation. Ils mettent
en exergue « l’absence d’interconnexion entre l’Est et
l’Ouest du pays, l’existence d’une culture qui ne favorise pas
l’unité nationale, l’incapacité du gouvernement central
à exercer son autorité sur l’ensemble du territoire national,
l’absence d’une langue commune, la RDC comptant plus de 200 groupes
ethniques »….
Jonction avec Pole Institute
En lisant nos deux chercheurs, nos pourfendeurs comprennent qu’il existe
bel et bien un tronc commun entre les analyses faites aussi bien à Miami
University in Ohio (USA) et à la Brenthurst Foundation à Johannesburg
(RSA) qu’à Pole institute de Goma.
Jeffrey Herbst et Greg Mills renseignent qu’économiquement, les
diverses parties périphériques du Congo sont mieux gérées
avec les voisins qu’avec le reste du pays. Or, dans la foulée, ils
font savoir que les voisins du Congo ont appris à ne pas tenir compte
de sa souveraineté. Et que ceux-ci, ont souvent agi comme si ce tracé
frontalier n’existait pas.
Ils fournissent moult illustrations. D’abord ces déclarations d’un
ministre zambien qui aurait confié que Lusaka considérait le Katanga
comme la 10ème province de la Zambie. Qu’est-ce à dire ?
Que les Katangais se sentiraient plus proches de leurs voisins anglophones de
la Zambie et d’Afrique du Sud que de Kinshasa.
Ils en sont arrivés à la conviction que l’immensité
de la tragédie humaine à l’Est du pays est tel qu’il
était temps de se demander si le fait de dire que le Kivu et le Katanga
appartiennent à l’Etat congolais ne relèverait pas d’une
fiction.
Parlant de dernières opérations conjointes, RDC- Rwanda et RDC-Ouganda,
nos deux chercheurs y voient un pas dans la direction de la résolution
des questions de sécurité et de développement au niveau
de la sous région.
Il serait inutile, soutiennent-ils, de continuer à dépenser des
milliards pour la réunification du Congo. Leur conclusion est que le
concept même d’un Etat congolais a perdu de son utilité.
Il se fait que c’est la même thèse que développe Pole
institute en se battant pour un affermissement des liens culturels et économiques
entre les populations vivant à cheval entre les frontières qui
séparent la RDC du Rwanda, du Burundi, de l’Ouganda ou encore de
la Tanzanie. A l’instar de Jeffrey Herbst et de Greg Mills, les chercheurs
de Pole institute trouvent, eux aussi, les provinces du Kivu trop éloignées
d’autres provinces du pays et de Kinshasa et plus proches des populations
des pays voisins.
Delphine Schrank : « le nationalisme des Congolais empêche leur
pays de voler en éclats »
Effacer un pays de la carte du monde n’est pas aussi facile que d’aucuns
le croient. Naturellement, l’obstination dans le cas de la RDC, repose
sur le fait que des Etats ont été créés de toutes
pièces en Asie et ailleurs et que les faiseurs de guerres, de rois et
d’Etats sont prêts à tenter de nouvelles expériences
au cœur de l’Afrique.
Ce qu’ils ignorent c’est que le contexte n’est pas le même
en ce qui concerne la RDC. Les arguments ayant triomphé ailleurs ne pourraient
pas nécessairement réussir à emballer les Congolais. Tant
le nationalisme de ceux-ci est inaltérable et inaliénable, qu’ils
soient de l’Est ou de l’Ouest, du Sud ou du Nord et même du
Centre.
Cette analyse a été faite par Delphine Schrank, une journaliste
américaine qui a eu l’opportunité de faire un reportage en
RDC, particulièrement dans l’Est. D’office, elle rejette la
thèse défendue par Jeffrey Herbst et Greg Mills selon laquelle
le seul moyen d’aider le Congo est de cesser de prétendre qu’il
existe.
Delphine affirme que durant les cinq semaines de son voyage à travers
le pays, elle n’a pas rencontré une seule personne – qu’il
s’agisse de l’avocat ou de l’homme d’affaires, du creuseur
ou du villageois déplacé de guerre, du pasteur ou milicien local-
qui ait pu remettre en cause son sentiment d’être congolais. Elle
relève « qu’un pays n’existe pas seulement en raison
de son gouvernement, du monopole de la violence ».
Elle estime que les groupes armés aussi bien étrangers qu’internes,
sont l’œuvre des pilleurs des richesses du Congo lesquels ne jurent
que par sa balkanisation. Elle se dit convaincue « que l’identité
congolaise n’est pas faible ni éphémère du fait de
la multitude de ses tribus, de ses langues encore moins de ses provinces ».
Au contraire, soutient-elle, « c’est cette capacité d’adaptation
qui lui a permis de transcender les hésitations et les insuffisances
d’un cortège d’une succession de gouvernements qui ne se sont
pas montrés à la hauteur ». Et d’ajouter que «
le Congo n’a pas renoncé à lui-même ni au reste du
monde ».
Le reportage de Delphine Scrank est étoffé par de nombreux témoignages
des Congolais qui ne peuvent pour rien au monde renier leur nationalité
ni aliéner leur nation. En d’autres termes, la République
démocratique du Congo existe en tant qu’Etat et Nation, nonobstant
quelques vicissitudes inhérentes à un pays qui soulève
autant de convoitises, et découlant des plans diaboliques des ennemis
de la RDC. Le Congo existera toujours, même à travers la «
piraterie comme c’est le cas actuellement de la Somalie » avant de
rebondir. Qu’en s’en souvienne toujours.
débordent d’imagination depuis quelques années, comme s’ils
avaient plusieurs tours dans leurs manches. Alors que le débat intéressant
sur « Pole institute » se poursuit dans les colonnes de notre journal,
voilà que quelques « chercheurs » se mettent en exergue. Comme
si tout cela était effectivement synchronisé.
Parallèlement aux conflits armés cycliques qu’ils entretiennent
dans l’Est de notre pays, les « faiseurs de guerre » ont également
mis à contribution des chercheurs et des centres de recherche aussi bien
en Afrique, aux Etats-Unis que partout dans le monde. Avec pour activité
primordiale de produire des textes ou une pensée « scientifique
» devant convaincre les Congolais de croire en « la non existence
de leur nation sur l’échiquier mondial ». C’est le cas
de Jeffrey Herbst et de Greg Mills, deux chercheurs qui affirment que «
la RDC n’existe pas ». Thèse que rejette Delphine Schrank,
une journaliste américaine soutenant que « le nationalisme dont
font preuve les Congolais empêche l’émiettement de leur territoire
».
Il est important de rappeler que ce 17 mai, c’est la commémoration
de la libération du Congo du régime mobutiste par les troupes
d’AFDL. Cette libération a été accompagnée
plus tard par une revendication identitaire qui, selon de l’avis de beaucoup
d’observateurs, expliquerait la poursuite des conflits armés dans
l’Est du pays. Mais, l’évolution de la situation sur le terrain
a fini par démontrer qu’un complot se tramait derrière ces
revendications identitaires. Il s’agit plutôt d’un vaste complot
de la balkanisation du Congo. Un vieux projet dont les initiateurs s’évertuent
à actualiser les stratégies devant mener à sa concrétisation.
La nouvelle approche, assortie d’une propagande sournoise, se révèle
être la production de la pensée au service de la balkanisation.
Objectif : endoctriner l’imaginaire populaire congolais et l’amener
à accepter une fatalité, en l’occurrence, que l’ex-Congo
belge est trop vaste pour appartenir aux seuls Congolais. Nous en voulons pour
preuve ces écrits, qui rejoignent ceux de Pole institute basé
à Goma (Nord-Kivu) que nous avons dénoncés dans l’une
de nos dernières livraisons, suscitant ainsi un débat intéressant,
prouvant ainsi que nous nous ne sommes pas trompés.
« The Democratic Republic of the Congo does not exist » (NDLR:
la RDC ne doit pas exister). Un souhait? Une vision ? Ou tout simplement une
conviction de la part de deux chercheurs ; Jeffrey Herbst, chef de chaire à
l’Université de Miami, dans l’Etat d’Ohio, aux Etats-Unis
d’Amérique ; Greg Mills, le second dirige la Fondation Brenthurst
basée à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Dans une étude rendue publique au mois de mars 2009, ces deux chercheurs
affirment que la RDC, en tant qu’Etat n’existe pas. Selon eux, il
serait temps de cesser de prétendre le contraire. Aussi, se permettent-ils
d’inviter la communauté internationale à reconnaître
ce fait.
Ces scientifiques notent que toutes les missions de maintien de la paix ont
été vouées à l’échec, de même
que toutes les initiatives diplomatiques entreprises par des envoyés
spéciaux des organisations internationales.
Ils soutiennent qu’une grande partie du Congo (NDLR : l’Est) aujourd’hui
tombée dans l’instabilité est un vaste territoire peu peuplé
mais rempli de ressources naturelles. Que comprendre ? Tout simplement que le
Congolais n’aurait pas le droit de jouir de ces richesses dont regorgent
son sol et son sous-sol alors que ses voisins seraient en situation de manque.
De même, le Congo disposerait d’assez d’espace pour en céder
une partie à ses voisins directs.
Pour illustrer leur argumentaire, Jeffrey Herbst et Greg Mills glissent dans
leur texte cette anecdote, un dicton swahili selon lequel « Le Congo est
un vaste champ où l’on peut brouter jusqu’à en être
repu ». Ne serait-ce pas pour tenter de légitimer la convoitise
des voisins du Congo et de tous ceux qui bavent sur ces richesses et qui ne
lésinent pas sur les moyens pour envahir une partie du territoire congolais
? Même si cette convoitise est vieille de plusieurs années, sans
froid aux yeux, nos deux scientifiques affirment que le Congo ne réunit
pas les éléments constitutifs d’un Etat-Nation. Ils mettent
en exergue « l’absence d’interconnexion entre l’Est et
l’Ouest du pays, l’existence d’une culture qui ne favorise pas
l’unité nationale, l’incapacité du gouvernement central
à exercer son autorité sur l’ensemble du territoire national,
l’absence d’une langue commune, la RDC comptant plus de 200 groupes
ethniques »….
Jonction avec Pole Institute
En lisant nos deux chercheurs, nos pourfendeurs comprennent qu’il existe
bel et bien un tronc commun entre les analyses faites aussi bien à Miami
University in Ohio (USA) et à la Brenthurst Foundation à Johannesburg
(RSA) qu’à Pole institute de Goma.
Jeffrey Herbst et Greg Mills renseignent qu’économiquement, les
diverses parties périphériques du Congo sont mieux gérées
avec les voisins qu’avec le reste du pays. Or, dans la foulée, ils
font savoir que les voisins du Congo ont appris à ne pas tenir compte
de sa souveraineté. Et que ceux-ci, ont souvent agi comme si ce tracé
frontalier n’existait pas.
Ils fournissent moult illustrations. D’abord ces déclarations d’un
ministre zambien qui aurait confié que Lusaka considérait le Katanga
comme la 10ème province de la Zambie. Qu’est-ce à dire ?
Que les Katangais se sentiraient plus proches de leurs voisins anglophones de
la Zambie et d’Afrique du Sud que de Kinshasa.
Ils en sont arrivés à la conviction que l’immensité
de la tragédie humaine à l’Est du pays est tel qu’il
était temps de se demander si le fait de dire que le Kivu et le Katanga
appartiennent à l’Etat congolais ne relèverait pas d’une
fiction.
Parlant de dernières opérations conjointes, RDC- Rwanda et RDC-Ouganda,
nos deux chercheurs y voient un pas dans la direction de la résolution
des questions de sécurité et de développement au niveau
de la sous région.
Il serait inutile, soutiennent-ils, de continuer à dépenser des
milliards pour la réunification du Congo. Leur conclusion est que le
concept même d’un Etat congolais a perdu de son utilité.
Il se fait que c’est la même thèse que développe Pole
institute en se battant pour un affermissement des liens culturels et économiques
entre les populations vivant à cheval entre les frontières qui
séparent la RDC du Rwanda, du Burundi, de l’Ouganda ou encore de
la Tanzanie. A l’instar de Jeffrey Herbst et de Greg Mills, les chercheurs
de Pole institute trouvent, eux aussi, les provinces du Kivu trop éloignées
d’autres provinces du pays et de Kinshasa et plus proches des populations
des pays voisins.
Delphine Schrank : « le nationalisme des Congolais empêche leur
pays de voler en éclats »
Effacer un pays de la carte du monde n’est pas aussi facile que d’aucuns
le croient. Naturellement, l’obstination dans le cas de la RDC, repose
sur le fait que des Etats ont été créés de toutes
pièces en Asie et ailleurs et que les faiseurs de guerres, de rois et
d’Etats sont prêts à tenter de nouvelles expériences
au cœur de l’Afrique.
Ce qu’ils ignorent c’est que le contexte n’est pas le même
en ce qui concerne la RDC. Les arguments ayant triomphé ailleurs ne pourraient
pas nécessairement réussir à emballer les Congolais. Tant
le nationalisme de ceux-ci est inaltérable et inaliénable, qu’ils
soient de l’Est ou de l’Ouest, du Sud ou du Nord et même du
Centre.
Cette analyse a été faite par Delphine Schrank, une journaliste
américaine qui a eu l’opportunité de faire un reportage en
RDC, particulièrement dans l’Est. D’office, elle rejette la
thèse défendue par Jeffrey Herbst et Greg Mills selon laquelle
le seul moyen d’aider le Congo est de cesser de prétendre qu’il
existe.
Delphine affirme que durant les cinq semaines de son voyage à travers
le pays, elle n’a pas rencontré une seule personne – qu’il
s’agisse de l’avocat ou de l’homme d’affaires, du creuseur
ou du villageois déplacé de guerre, du pasteur ou milicien local-
qui ait pu remettre en cause son sentiment d’être congolais. Elle
relève « qu’un pays n’existe pas seulement en raison
de son gouvernement, du monopole de la violence ».
Elle estime que les groupes armés aussi bien étrangers qu’internes,
sont l’œuvre des pilleurs des richesses du Congo lesquels ne jurent
que par sa balkanisation. Elle se dit convaincue « que l’identité
congolaise n’est pas faible ni éphémère du fait de
la multitude de ses tribus, de ses langues encore moins de ses provinces ».
Au contraire, soutient-elle, « c’est cette capacité d’adaptation
qui lui a permis de transcender les hésitations et les insuffisances
d’un cortège d’une succession de gouvernements qui ne se sont
pas montrés à la hauteur ». Et d’ajouter que «
le Congo n’a pas renoncé à lui-même ni au reste du
monde ».
Le reportage de Delphine Scrank est étoffé par de nombreux témoignages
des Congolais qui ne peuvent pour rien au monde renier leur nationalité
ni aliéner leur nation. En d’autres termes, la République
démocratique du Congo existe en tant qu’Etat et Nation, nonobstant
quelques vicissitudes inhérentes à un pays qui soulève
autant de convoitises, et découlant des plans diaboliques des ennemis
de la RDC. Le Congo existera toujours, même à travers la «
piraterie comme c’est le cas actuellement de la Somalie » avant de
rebondir. Qu’en s’en souvienne toujours.
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