Kabila affronte kamerhe, la guerre ne fait que commencer

Morales avait lancé un sujet concernant qu´il avait qualifié de rumeur d´affrontement entre Kamerhe et le gouvernement voila que cet affrontement devient une guerre et les coups bas se font sentir.

Lisez ceci

Ça sent le roussi
dans l’espace politique congolais. Aux dernières nouvelles, Kanambe Joseph, encore lui, vient de décréter
l’embargo télévisuel à l’égard du Président de l’assemblée nationale, Vital
Kamerhe. Depuis deux jours, avec risque de se prolonger pendant longtemps, l’autorité de l’institution, symbole du
peuple, est interdit d’image sur la Télé dans le pays. Il est
ainsi contraint d évoluer dans l’anonymat. La mesure fait scandale ! Les
députés n’en reviennent pas, certaines langues vont jusqu’à présager l’imminent
éclatement du PPRD.

A l’origine decette situation qui menace d’éclater, les récentes déclarations que lepopuliste aux commandes à la chambre basse aurait tenues par rapport à la pénétration de l’armée rwandaise (environ 6000 hommes) dans notre territoire sans concertation préalable inter institutionnelle ( exécutif-parlement) devant justifier l’aval du Chef de l’Etat. Pour Joseph Kabila, de tels propos relèvent du dérapage verbal ou encore d’un délit de sale gueule, d’où l’ire du Chef et cette
mesure punitive qui frappe désormais son ex lieutenant aux dernières
présidentielles.







A regarder de près, le successeur de Mzee vient par son geste de se mettre le doigt dans l’œil. L’on ne défie pas le pouvoir législatif dans un contexte politique aussi
morose dans lequel se confine la RD Congo. Il n’est un secret pour personne : la présence massive des rwandais à l’intérieur de nos frontières, dans l’armée, la police
et dans d’autres secteurs clés du pays exaspère. Les congolais (patriotes) ont
l’impression d’être engagé dans un mouvement vers la « rwandalisation »du pays. C’est ainsi qu’on peut en quelque sorte expliquer l’animosité quasi présente dans l’hémicycle. Aussi, à force d’essuyer des coups en lieu et
place de Kabila, Vital Kamerhe estime qu’à un moment donné, il lui fallait prendre ses
distances. Il y va de son crédit ou de son électorat au vu des élections qui se
profilent en 2011.







L’opposition, principalement l’UDPS voyant, depuis
bien longtemps, venir le danger ne proposait-elle pas le dialogue permanent inter congolais à la manière de « palabre africaine » pour la sortie de crise ? (Si seulement
Laurent Désiré Kabila nous avait écouté) ! Mais, à la place, il a été préféré
des conciliabules, l’approche soufflée, dictée de l’extérieur, à l’exemple du
« plan amani », de « Nairobi I » et « Nairob II » lesquels ont tous la
particularité de se dérouler loin de la vue du peuple, c’est à dire à la
frontière quand ils n’ont pas lieu à l’étranger à défaut d’être localisés dans le pays même de l’agresseur.
Certes, l’heure n’est plus à l’interpellation de
quiconque. Nous devons condamner et faire échec
à la dérive totalitaire caractérisant le pouvoir de Kabila.
Nous en appelons donc au sens patriotique des élus du peuple : sénateurs, députés pour que soit convoqué, toutes affaires cessantes, une session extraordinaire dans le but d’examiner et de prononcer éventuellement la démission de Joseph Kabila ,
coupable de haute trahison.

Je ne sais pas mais il me semble que cet histoire ne figure que sur ce forum,bon je vais encore faire des recherches pour voir si on en parle aussi ailleurs.

Monsieur Ramboché bonjour quand parce que c´est la première fois que je vous vois ici,soyez le bienvenu sur cet espace de liberté.
J´ai trop attendu vos recherche mais en vain.
Apprenez a faire de recherche avant de qualifier ce disent les autres.

Bonjour Kabibi

Je crois que vous n'aviez pas tord le message que vous avez posté que les autres avait traité de rumeur a'avère veridique.
Voila encore un article parlant de cette histoire Ramboché sachez que la radio trotoir en RDC finit toujours par triompher, parce que se sont les responsables eux même qui l'entrentiennent.

Lisez

Le
nouveau bureau, dont la composition n'est pas encore connue, devra attendre
que celui qui est présentement en place démissionne comme les
mandants vont le lui demander dans les heures qui suivent. Des noms à
la succession de Kamerhe sont cités ici et là. Et parmi ceux qui
sont les plus cités, il y a Kikaya Bin karubi, Théophile Mbemba,
Evariste Boshab et Gilbert Tshiongo. Les détails et tous les commentaires
vous seront donnés ultérieurement..
Vital Kamerhe de retour à Kinshasa
Après plusieurs jours d'absence au pays, le président de l'Assemblée
nationale, Vital Kamerhe , a regagné Kinshasa hier dimanche, 22 février.
Venant des Etats-Unis d'Amérique, il a fait une escale en Afrique du
Sud, avant de rejoindre Kinshasa. Le moins que l'on puisse dire est qu'il rentre
au pays dans un contexte particulier et mouvementé.
Pendant son absence, il y a eu beaucoup de spéculations sur la prétendue
brouille existant entre lui et certains ténors de son parti. Cette brouille
est née suite aux propos tenus par Vital Kamerhe sur radio Okapi, en
rapport avec l'opération militaire conjointe entre les FARDC et l'Armée
rwandaise pour traquer les FDLR au Nord-Kivu. Au fait, le n°1 de l'Assemblée
nationale avait soutenu qu'il n'était pas mis au courant du déclenchement
de cette opération. Cette prise de position a été mal jugée
par certaines grosses pointures du PPRD qui projettent même de le faire
partir de son poste à la tête de l'Assemblée nationale.
Par ailleurs, le retour à Kinshasa de Vital Kamerhe était très
attendu par les députés pétitionnaires qui exigent la convocation
d'une session extraordinaire pour débattre sur cette opération
conjointe. Selon les informations disponibles, la coordination de 262 députés
pétitionnaires attendait le retour de Kamerhe pour lui remettre personnellement
leur pétition. Dans la tourmente lui-même, des observateurs s'interrogent
sur l'opportunité pour Kamerhe de se prêter à cette démarche
mal perçue par la direction politique de son parti. Pendant son absence
du pays, les rumeurs sur l'éventualité de sa démission
exigée par certains durs du PPRD, ont circulé avec persistance.
Coïncidence ou hasard, le retour de Kamerhe est intervenu ce dimanche
22 février, jour du début du retrait des troupes rwandaises impliquées
dans l'opération conjointe RDC-Rwanda au Nord-Kivu. Il est possible que
ce retrait déjà amorcé apaise les tensions suscitées
dans le microcosme politique, particulièrement au sein de la majorité
présidentielle. D'ici le 15 mars, jour prévu pour le début
de la session ordinaire, la situation va certainement se décanter. On
en saura un peu plus sur la nécessité ou non de convoquer une
session extraordinaire.
Dans tous les cas, les jours qui viennent seront décisifs dans le différend
qui oppose le n°1 de l'Assemblée nationale et la direction politique
de son parti. Dans tous les cas, la jeune démocratie congolaise ne doit
pas se payer le luxe de créer une crise institutionnelle, marquée
par le limogeage du président de l'Assemblée nationale. Le pays
a d'autres priorités et défis à affronter pour se mettre
sur la voie du développement, plutôt que de s'enfoncer dans une
crise, dont on ne connaît d'avance l'issue.

Tout le monde a kin savait que ce combat se jouer dans les coulisses.
Bon il faut comprendre les gens comme Ramboché tellement qu'il est en train de rêver il veut que les choses se passent comme dans son rêve alors que la réalité et la vérité finissent toujours par triompher

Que doit comprendre ou quel conclusion doit- on en tirer ? l
On pousse le Président de l'assemblée nationale vers la sortie le comble est que c'est son propre parti qui en est l'auteur.
Ne fait-il pas bien son travail ? pourquoi veut-on son départ ?
Le Président de l'assemblée nationale doit-il jouer le jeu de son clan ? ou doit- il une fois entrer entrer dans ces fonctions rester neutre ?
La politique Congolaise est bizarre.

Moleki Nzela

Vous avez posé de tres bonnes e , moi je crois que le President de l'assembée nationale une fois nommé doit être neutre sinon ca ne vaut pas la peine.
Pourquoi son propre camp le pousse à la sortie ca Ramboché nous le dira s'il a encore le courage de participer a ce débat lui qui l'avait balayé d'un revers de main.

Moi je pense plutôt que la déclaration de Kamerhe sur l´entrée de militaire Rwandais au Congo était qu´un prétexte le vrai problème date de bien avant,sans entrer dans les détails depuis qu´il est président de l´assemblée nationale Kamerhe ne joue pas vraiment majorité et son camps croit qu´il a d´autres ambitions voila la ou la chasse a l´homme a commencé.

Deux membres de son bureau on déjà démissionnés les choses se passent en coulissent.
Est ce vraiment responsable de provoquer cette crise en cette période ?