Monsieur Ramboché
Vous qui avez prétendu que votre ami le président Kabila planifiait tout, souffrez que je vous fasse lire un article qui vous contredit.
Quant a votre ministre monsieur Mende qui est payé pour chercher des arguments pour tout contredire même quand tout est claire comme l´eau de la source dites lui qu´il ment en disant ceci :
" Il n'existe aucun pays au monde, quelque
soit le degré de sa démocratie, où des responsables de
mouvements associatifs se mêlent des problèmes opérationnels"
Les responsables de mouvement associatifs ne mêlent pas des problèmes opérationnels mais ils font tout simplement un constat sur les résultats de ce qu´on nous avait annoncer comme meilleure solution.
Si son metier c´est de mentir même quand le probleme posé est clair vraiment c´est dommage pour un ministre de la Republique.
Et vous qui disiez qu´il y avait pas de fossé entre le peuple Congolais et ses dirigeants en voici une preuve.
La
Société civile du Nord-Kivu soutient que la répétition
des attaques des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda
(FDLR) est une conséquence du manque de planification rationnelle des
opérations de la part du gouvernement
En guise de riposte aux propos de la Société civile, le gouvernement
congolais accuse la Société civile de vouloir intoxiquer et démoraliser
l'armée qui fait de son mieux
La Société civile fustige le fait que, selon elle, ce sont des
effectifs réduits qui sont déployés dans les villages.
Ceci poursuit-elle, ne peut nullement arrêter ces forces négatives
qui n'ont cessé de semer la terreur dans la province.
" On est en train d'attaquer les FDLR pour les disperser dans la nature.
Ils s'arrangent à leur tour, pour rentrer et inquiéter les populations
et les positions des FARDC. A l'heure où je vous parle, il n'y a pas
eu un seul endroit où les FDLR ont été attaqués
et on leur a laissé la possibilité de s'orienter vers les sites
de la Monuc ", selon Janson Luneno, président de la Société
civile du Nord-Kivu.
Il constate par ailleurs que les militaires déployés dans les
villages, sont moins nombreux ne pouvant pas supporter une attaque rebelle.
Ça et là, ils sont déposés à 2 ; 3 ou 4.
Insuffisant !
" Les troupes qui doivent contrer les FDLR sont composées des éléments
des FARDC ; du CNDP ainsi que des Maï-Maï. Ce mélange crée
un manque de cohésion dans l'armée ", remarque le président
de la Société civile relayé par la radio onusienne.
Le porte-parole du gouvernement congolais reconnaît, toutefois, la modicité
des moyens mis à la disposition des FARDC. Lambert Mende demande à
la Société civile du Nord-Kivu de " laisser l'armée
nationale faire la guerre ". " Il n'existe aucun pays au monde, quelque
soit le degré de sa démocratie, où des responsables de
mouvements associatifs se mêlent des problèmes opérationnels.
Il y a des pays où cela est même constitutif d'une infraction ",
dira-t-il.
" Notre armée se bat avec les moyens qu'elle a. Il se peut que
ces moyens soient insuffisants, je suis d'accord avec eux. Mais le fait que
ces moyens soient insuffisants ne permet pas à qui que ce soit le dire
de nos militaires qu'ils n'ont pas le droit de défendre leur peuple ",
coupera court le ministre de la Communication.
Vous qui avez prétendu que votre ami le président Kabila planifiait tout, souffrez que je vous fasse lire un article qui vous contredit.
Quant a votre ministre monsieur Mende qui est payé pour chercher des arguments pour tout contredire même quand tout est claire comme l´eau de la source dites lui qu´il ment en disant ceci :
" Il n'existe aucun pays au monde, quelque
soit le degré de sa démocratie, où des responsables de
mouvements associatifs se mêlent des problèmes opérationnels"
Les responsables de mouvement associatifs ne mêlent pas des problèmes opérationnels mais ils font tout simplement un constat sur les résultats de ce qu´on nous avait annoncer comme meilleure solution.
Si son metier c´est de mentir même quand le probleme posé est clair vraiment c´est dommage pour un ministre de la Republique.
Et vous qui disiez qu´il y avait pas de fossé entre le peuple Congolais et ses dirigeants en voici une preuve.
La
Société civile du Nord-Kivu soutient que la répétition
des attaques des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda
(FDLR) est une conséquence du manque de planification rationnelle des
opérations de la part du gouvernement
En guise de riposte aux propos de la Société civile, le gouvernement
congolais accuse la Société civile de vouloir intoxiquer et démoraliser
l'armée qui fait de son mieux
La Société civile fustige le fait que, selon elle, ce sont des
effectifs réduits qui sont déployés dans les villages.
Ceci poursuit-elle, ne peut nullement arrêter ces forces négatives
qui n'ont cessé de semer la terreur dans la province.
" On est en train d'attaquer les FDLR pour les disperser dans la nature.
Ils s'arrangent à leur tour, pour rentrer et inquiéter les populations
et les positions des FARDC. A l'heure où je vous parle, il n'y a pas
eu un seul endroit où les FDLR ont été attaqués
et on leur a laissé la possibilité de s'orienter vers les sites
de la Monuc ", selon Janson Luneno, président de la Société
civile du Nord-Kivu.
Il constate par ailleurs que les militaires déployés dans les
villages, sont moins nombreux ne pouvant pas supporter une attaque rebelle.
Ça et là, ils sont déposés à 2 ; 3 ou 4.
Insuffisant !
" Les troupes qui doivent contrer les FDLR sont composées des éléments
des FARDC ; du CNDP ainsi que des Maï-Maï. Ce mélange crée
un manque de cohésion dans l'armée ", remarque le président
de la Société civile relayé par la radio onusienne.
Le porte-parole du gouvernement congolais reconnaît, toutefois, la modicité
des moyens mis à la disposition des FARDC. Lambert Mende demande à
la Société civile du Nord-Kivu de " laisser l'armée
nationale faire la guerre ". " Il n'existe aucun pays au monde, quelque
soit le degré de sa démocratie, où des responsables de
mouvements associatifs se mêlent des problèmes opérationnels.
Il y a des pays où cela est même constitutif d'une infraction ",
dira-t-il.
" Notre armée se bat avec les moyens qu'elle a. Il se peut que
ces moyens soient insuffisants, je suis d'accord avec eux. Mais le fait que
ces moyens soient insuffisants ne permet pas à qui que ce soit le dire
de nos militaires qu'ils n'ont pas le droit de défendre leur peuple ",
coupera court le ministre de la Communication.
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