Sur ordre de son mari, une femme se fait avorté et en meurt

Depuis le début de sa grossesse, Mamu Sylva, mère de deux enfants
vivait un véritable enfer. Son mari, M. Joseph Kabeya, ne cessait, de
la torturer, de la menacer, lui demandant de se faire avorter. Au bout
de cinq mois, Mamu Sylva cède aux pressions de son mari et avec
l’argent que celui-ci lui a remis, elle S’en va voir un assistant
médical du quartier, après avoir conclu le marché, l’avortement a lieu
le samedi 06 décembre 2008.

Mais, le lendemain, les complications commencent. La forte fièvre
dont souffre la pauvre femme alerte le mari. Paniqué, ce dernier
conduit son épouse auprès de l’assistant médical. Malheureusement, ce
dernier est absent. L’intervention, bien qu’énergique du médecin de
garde ne pourra soulager les peines de Mamu Sylva, qui rendra l’âme aux
environs de 2 heures du matin. Les propres enfants de M. Kabeya,
indignés, dénonceront leur géniteur à la police. L’assistant médical et
l’ignoble mari ont été écroués à la maison communale de Limete, en
attendant qu’ils répondent de leur crime devant la justice.

Pour palier a ce genre de désastre l´État devrait crée de centre social ou le femme devrait se réfugier ou trouver de l´aide en cas de ce genre de problème.
Je comprend aussi qu´il se posera un problème de financement,l´état aussi le faire en coopérant avec des ONG a qu´il peut confier cette tache.
Ces ONG peuvent être financer a moitie par l´état et ces ONG se chargeront de chercher les fonds pour fonctionner.

Moi je crois que surtout question de volonté politique, d´organisation et de priorité et non de financement.
Les finances de la RDC sont pillés et le peu qui rentre dans les caisses de l´état sont mal utilisés.Et la solution ne viendra que si nous nous dotons des hommes politiques capable et intègres.

Le gouvernement doit faire preuve d´imagination les ONG c´est bon mais
on il peut utiliser les églises tel que l´ église catholique si on lui
donne la charge mettre des structures sociales pour écouter ces femmes
et au les aider voir même les protéger.