Comme Werra, les concerts de JB Mpiana n’attirent que nos “nolstagiques” Ils sont en tournée, mais on parle « peu » d’eux.L’un , Werrasson en Europe après son concert au succès mitigé au Zénith,et JB en tournée, est plutôt trahi par une économie américaine dont on dit en récession, ou l’élection récente
de Barack Obama n’a pas encore donné ses fruits.JB Mpiana s’est
contentionné de quelque 300 personnes à Washington qui sont venus le
voir dont la plupart était ses « vieux » amis de Kinshasa qu’il n’a pas
vu ça fait une dizaine d’année.Werrasson,l’autre est « pratiquement »
sur ses genoux pour lancer un « mea culpa » á la diaspora congolaise de Londres de l’autoriser á faire des concerts pour l’aider à s’enrichir au détriment d’une diaspora qui fait souvent « les misala ya maboko »(petit boulot). L'échec de ces tournées(Werra ou JB),
il faut se rendre à l'évidence et appeler les choses par leur nom. Il
ne peut être blâmé qu'aux artistes eux mêmes : il ne s'agit pas d'une
série de dérapages médiatiques,mais une accumulation de mauvaise
stratégie, cupidité, régression de la qualité musicale, une mauvaise
prédiction de l’économie mondiale… qui poussent les congolais de la
diaspora à agir intelligemment et à conserver leur argent
dans leurs comptes. Un échec Pour « Mukulu » à Dallas qui compte
beaucoup d’églises congolaises, très conservatrices corroborera cette
thèse.Pour Werrasson, les donnes sont encore très incertaines,"personna
non grata" presque partout.Tout cela sera un signal « fort » pour la
jeune génération que la route de la gloire « totale » est libre.
Les spécialistes en chronique musicale appellent ce phénomène: Ebandeli ya Bozindi
de Barack Obama n’a pas encore donné ses fruits.JB Mpiana s’est
contentionné de quelque 300 personnes à Washington qui sont venus le
voir dont la plupart était ses « vieux » amis de Kinshasa qu’il n’a pas
vu ça fait une dizaine d’année.Werrasson,l’autre est « pratiquement »
sur ses genoux pour lancer un « mea culpa » á la diaspora congolaise de Londres de l’autoriser á faire des concerts pour l’aider à s’enrichir au détriment d’une diaspora qui fait souvent « les misala ya maboko »(petit boulot). L'échec de ces tournées(Werra ou JB),
il faut se rendre à l'évidence et appeler les choses par leur nom. Il
ne peut être blâmé qu'aux artistes eux mêmes : il ne s'agit pas d'une
série de dérapages médiatiques,mais une accumulation de mauvaise
stratégie, cupidité, régression de la qualité musicale, une mauvaise
prédiction de l’économie mondiale… qui poussent les congolais de la
diaspora à agir intelligemment et à conserver leur argent
dans leurs comptes. Un échec Pour « Mukulu » à Dallas qui compte
beaucoup d’églises congolaises, très conservatrices corroborera cette
thèse.Pour Werrasson, les donnes sont encore très incertaines,"personna
non grata" presque partout.Tout cela sera un signal « fort » pour la
jeune génération que la route de la gloire « totale » est libre.
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